Quand les diacres rencontrent leur évêque

Ce lundi de Pentecôte, plus de la moitié des diacres du diocèse ont pu se rendre à Bernay pour la traditionnelle rencontre annuelle avec leur évêque. C’était pour certains le premier partage de repas ou la première discussion avec le père Christian Nourrichard depuis son installation le 29 janvier.

Les diacres sont des collaborateurs privilégiés de l’évêque, aussi cette journée revêt une importance particulière pour tisser des liens. Elle s’est déroulée assez traditionnellement en cinq temps : l’Eucharistie, le partage du repas, le temps d’échange, la détente, la prière d’envoi.

Le lundi de Pentecôte correspond au pèlerinage annuel à Notre Dame de la Couture. C’est donc dans ce cadre que l’Eucharistie a été célébrée avec les fidèles du pèlerinage et les prêtres du secteur Ouest.

Accueillis par les sœurs salésiennes de Bernay, nous nous sommes retrouvés autour d’une grande table, évêque, religieuses, diacres et épouses auxquels s’étaient joints quelques prêtres seuls. Nous avons expérimenté une fois de plus la multiplication des pains car après avoir partagé nos repas, nos paniers étaient encore bien remplis pour repartir.

Très fraternellement, le père Nourrichard nous a ensuite entretenu de divers sujets qu’il voulait aborder avec nous, et chacun a pu poser toutes les questions qu’il souhaitait.

La voie verte qui va de Bernay à Broglie fut dans l’après-midi le lieu de la détente où nous avons pu converser tout en marchant dans un cadre agréable, nature et soleil conjugués. Nous avons fait demi-tour bien avant Broglie car tous ne sont pas rompus aux efforts de la marche sur longue distance.

Revenus à la basilique de Notre Dame de la Couture, nous avons pu confier notre journée au Seigneur et notre évêque nous a renvoyé en mission auprès de nos frères.

Tonifiés par cette rencontre, c’est un sentiment d’allégresse qui restera présent dans nos cœurs. Diacres du diocèse d’Evreux, nous nous sentons pleinement en communion avec Christian Nourrichard comme nous l’étions avec ses prédécesseurs.

Au service du Christ et de l’Eglise, nous répondons « me voici ».